Ce travail, mené à titre bénévole avec des moyens minimes (2000 euros env.) montre que la lutte contre l’érosion est possible dans le contexte de la Casamance à 3 conditions :
- une régularité d’action qui ne peut être assurée que par les habitants,
- la coopération de scientifiques qui valorisent le travail de terrain et acceptent d’étudier les paramètres permettant de gérer les sédiments.
- une affectation des moyens au travail de terrain et aux mesures qui en découlent plutôt qu’aux ateliers, discussion et études préalables.
Pour en savoir plus sur la manière de réaliser un épi, regardez cette vidéo de novembre 2019
Pour participer à la généralisation de cette pratique, lisez la page passage à l’échelle
excellent projet ! je trouve cela très intéressant et courageux et je suivrai les avancés de vos travaux avec admiration.
J’adore le Sénégal où j’ai vécu et où je reviens le plus souvent possible.
J’ai une fille métisse sénégalaise et je parle wolof.
Quel courage ils ont pour lutter pour sauver la Casamance.
Je viens cet été.
De tout cœur avec vous.
Pays du teranga, de la solidarité et du partage.❤️❤️❤️❤️❤️
Bonjour, merci pour vos encouragements. Nous commençons à démultiplier le travail réalisé à Diogué. Si vous venez cet été vous pourrez peut-être observer davantage d’épis à Diogué et peut-être le lancement de l’ostréiculture.
N’hésitez pas à faire connaître notre site Intenet.
Patrick CHEVALIER
Éducateurs sans Frontières
Chef de projet Alimentaire Solidaire