La culture du riz
Le riz est l’activité principale des habitants des iles.
Depuis des siècles les hommes ont aménagé leur paysage. Ils ont conquis l’espace de leurs rizières sur les terres basses recouvertes à marée haute par le fleuve salé. En installant un maximum de carrés de riz séparés par des chemins qui font stagner l’eau et permettent de circuler..
Des digues plus résistantes faites de piquets de palétuvier, de tressage et de terre protègent ces espaces contre la marée d’eau salée.
Les digues traditionnelles Digues solides Digue protectrice digue abimée
On le voit à Niomoune la population continue à résister en entretenant certaines digues. Il est toujours possible de faire évoluer le territoire avec intelligence.
Certaines rizières peuvent être sauvées, d’autres sont abandonnées à l’eau salée et peuvent être reconverties, soit en bassin aquacole, bassin pour l’élevage des huitres par exemple.
Dans tous les cas il est nécessaire de planter des palétuvier pour protéger l’ensemble. On le voit au loin, à partir d’Essagholou, à Niomoune les plantations sont vastes.
Les 3 zones : rizières, abandonnées, mangove la mangrove à proximité entre deux villages
Le chemin qui relie Oubak à Essagholu serpente entre les palétuviers.